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Le blog de Lorenzo

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Mes articles sports parus dans les Dernières Nouvelles d'Alsace (DNA) ou sur le site de la Ligue d'Alsace de Football (LAFA).


Coupe de France : Ohlungen - Obermodern

Publié par Laurent Hickel sur 16 Septembre 2012, 19:53pm

Obermodern arrache la qualification

 

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OHLUNGEN  1

OBERMODERN  2 après prolongations

 


Stade Municipal. 350 spectateurs environ. Mi-temps : 0-0.  Arbitre : M.Klein assisté par MM.Adolff et Kapps.

 

Les buts : Acker  (103e’) pour Ohlungen ; Holveck (105e’+1), Vannier (115e’) pour Obermodern.

 

Avertissements : Moret (87e’) à Ohlungen ; Vannier (90e’+2), Holveck (111e’), Gstalter (116e’), Gelineau (117e’) à Obermodern.

 

OHLUNGEN : Kennel, Klipfel, Welsh, Houde, Jung, Moret, Hemion, Schatz, Gluck, Acker, Hantz (Felden,  Dapp, Andruette). Entraineur : Stéphane Schell

OBERMODERN : Edel, Lux, Rauscher, Stocki, Muller, Haas, Gstalter, Sturtzer, Vannier, Jurczack, Gelineau (Holveck, Keith, Dietrich). Entraineur : Armand Jérôme.

 

 

La défaite a toujours un goût amer. Elle l’a d’autant plus pour Ohlungen que la rencontre a basculé en sa défaveur alors que le plus dur semblait fait. Lorsque Julien Acker ouvre le score à la fin de la première mi-temps des arrêts de jeu l’affaire semble pliée. Mickaël Hantz envoi un centre parfais dans la course du numéro 10 local. Ce dernier, ne se pose pas de question et ouvre la marque d’une reprise de volée qui ne laisse aucune chance à Cédric Edel (1-0, 103e'). Les supporters des jaunes exultent, ils tiennent leur exploit.  Pourtant, Obermodern va marquer deux fois en quelques minutes et arracher une qualification qui semblait promise aux coéquipiers de Julien Acker très déçu à l'issue de la rencontre. "On avait fait le plus dur mais le match a basculé pour eux sans qu'on sache pourquoi. C’est une défaite très dur à encaisser parce qu’on ne méritait pas ça».

Trois minutes après l'ouverture du score, c'est d'abord Geoffrey Holveck qui remet son équipe sur les rails suite à un corner. Il surgit de nul part et prend le dessus dans les airs pour tromper Cédric Kennel de la tête (1-1, 105e'+1). Quelques minutes plus tard, sur un ballon en profondeur délivré par William Jurczak, Romaric Vannier enfonce le clou d'une demi-volée gagnante (1-2, 115e'). Avant ça, la rencontre avait tenu toutes les promesses d'une rencontre de coupe. De la tension à tous les étages et une bagarre physique de tous les instants. Chacun avait eu ses occasions plus ou moins franches de prendre l'avantage. Au cours de la première période on peut relever la reprise de la tête de Franck Haas qui aurait pu faire mouche sans un arrêt reflexe de Cédric Kennel (22e'). Pour les locaux, les tentatives de  Gluck (7e'), de Hemion (24e') ou de Hantz (31e') montrent que l'exploit est possible. En deuxième période l'équilibre perdure. Une frappe puissante de Vannier fait passer des sueurs froides dans le dos de Kennel (70e') alors qu'en face, Stocki stoppe Guillaume Gluck dans la surface de façon musclée mais l'arbitre ne siffle rien (80e'). C'est pendant les arrêts de jeu qu'Obermodern fera la différence et gagnera son ticket pour le quatrième tour de la coupe de France.

     

LAURENT HICKEL

 

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